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Reid J. Kennedy ● Fuck the leaders, we don't need this.

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Reid J. Kennedy
Reid J. Kennedy


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MessageSujet: Reid J. Kennedy ● Fuck the leaders, we don't need this. Reid J. Kennedy ● Fuck the leaders, we don't need this. EmptyMer 25 Jan - 19:15





Reid Jeffrey Kennedy
« Why you gotta judge everybody but yourself ? »


        Hello, Denver.


        Je me nomme Reid Jeffrey Kennedy, mais on me surnomme souvent Mr. Destruction, ou encore Reidy. J'ai exactement 25 ans. Je suis né dans la ville de Portland (Oregon), le 5 décembre 1986. Je suis de nationalité américaine, et j'ai des origines irlandaises.

        Actuellement, je suis officier de policier et ma situation financière est plutôt normale. Côté cœur, je suis célibataire et je suis hétéro.

        Si je devais être une chanson, je serais smoking in the boys room, de Mötley Crüe ou encore un personnage de film, je serais John Chisum. En tant qu'animal, je serais un aigle royal. Si j'étais un des sept péchés capitaux, je serais la colère. Et puis, si je devais être une marque de voiture, je serais forcément une range rover, de couleur noire.



« Le mot "peur" ? Il ne fait pas partie de mon vocabulaire.

On m'a trop souvent pris pour un moins que rien, quelqu'un qui ne fera jamais rien de sa vie. Je ne suis pourtant pas si différent des autres. Je ne souffre pas d'une pathologie qui pourrait se transmettre par un simple touché, et sur lequel on crache pour se protéger soi-même. J'ai appris à mes dépends qu'il ne fallait pas faire confiance aux gens. Qu'il valait mieux tromper plutôt que d'être trompé. Je refuse de n'être qu'un misérable. Quelqu'un qui termine au fond d'une tombe sans que personne ne s'en rende compte. Je veux faire en sorte que l'on se souvienne de moi. Peu importe que ce soit pour mes bonnes ou pour mes mauvaises actions. Je refuse de devoir passer inaperçu. De voir que les gens ne se retournent jamais sur vous au détour d'une rue. Je refuse de n'être qu'une ombre, emprisonnée entre ciel et terre. Entre l'enfer et le paradis. Faire du mal aux gens ? Quelle importance. Le principal, c'est de se mettre à l'abri. Peu importe le nombre de masque que l'on utilise. Peu importe le nombre de personnalité que l'on s'invente. On se forme un véritable mur, placé juste devant le coeur. Presque aussi lourd qu'un rideau de fer. Et on avance comme cela, en suivant le même chemin, la tête haute et l'allure vaillante. Personne ne peut lutter contre les forces divines. On fait mine de n'avoir peur de rien, alors qu'au fond on garde les diverses séquelles d'une vie, miné par tout un tas de spectres venant tout droit du passé. Je me considère comme une bombe à retardement. Plus le temps passe, plus je risque d'exploser. Je ne veux pas me soumettre à cette vie, qui manifestement ne veut pas de moi. »






Pour le Colonel Jeffrey Kennedy,

« Kennedy, tu te dois de porter ce nom avec fierté. »

J'ai détesté cette phrase de tout mon être. Elle revenait presque tous les soirs. Comme une prière que l'on énonce avant un repas, pour se rappeler à quel point nous sommes redevables à une seule et même personne. Et forcément, toute l'assemblée était d'accord pour dire que ce putain de nom était un véritable don. Un cadeau tombé du ciel. Kennedy... Ce nom évoque énormément de choses, dont les grands hommes de ce merveilleux pays. Même s'il ne s'agit pas vraiment de la même famille. A vrai dire, peu importe les liens, ce nom aspire à une certaine grandeur, à une fierté. Et celui qui oserait salir ce nom ne pouvait être qu'un imbécile. Cela ne faisait aucun doute. Dans l'histoire, le fait d'être fier de ce nom de famille n'est pas seulement la cause de l'histoire d'un pays. Être issus d'une grande famille de militaire n'arrange pas vraiment les choses. Et encore moins avec comme arrière grand-père un Général de l'US Army, durant la période de la Seconde Guerre mondiale dont l'histoire est rabâchée à chaque fois que l'occasion s'en présente. Être un fils Kennedy, cela veut dire être obligatoirement un soldat. Et ce n'est pas une question de choix. Mais pour tout te dire... Je déteste ce nom. Je déteste cette famille. Je déteste cette histoire. Et putain, je sais que j'aurai dû en être fier. Seulement, je n'ai jamais pu supporter l'idée d'être forcé de faire quelque chose que moi je n'avais pas envie de faire. Je n'ai jamais voulu être un soldat. Mais ça, pour toi, c'était mission impossible. Désolé d'être le fils qui n'a pas voulu se soumettre à tes idées. Désolé si mon frère, lui, n'a pas osé faire la même connerie que moi. Vous êtes tous d'un pathétique... Tu dois probablement te demander pourquoi je t'écris, aujourd'hui. Enfin, à condition que tu lises cette lettre jusqu'au bout. Tu as beau être gradé, moi je sais que tu n'as pas autant de courage que tu oses le prétendre. Il faut quand même l'avouer... Dix-neuf ans à tes côtés, c'est largement suffisant pour se rendre compte de qui tu es vraiment. Et... Oh. Je t'entends déjà cracher dans la poubelle qui se tient à côté de ton bureau, en hurlant que je ne suis qu'un minable qui a le culot de te manquer de respect. Tu vois, je te connais bien. Et là, tu te jures que tu vas me faire la peau, comme d'habitude. Mais, cette fois, tu ne pourras pas. Car, vois-tu, c'est la dernière fois que tu entends parler de moi. Et plutôt que de partir comme un voleur, je me suis dit que c'était l'occasion ou jamais de te dire à quel point je te déteste. Toi et tes manies qui m'ont pourrie la vie pendant dix-neuf ans. J'espère sincèrement que cette lettre va te mettre en colère, et que son souvenir te pourrira la vie jusqu'à la fin de tes jours. Quoique, j'en doute, puisque tu es incapable d'éprouver des sentiments, même à l'égard de ton propre fils. De toute manière, la seule chose que l'on attendait de moi, c'était que je rentre à l'école militaire, pour que l'histoire ait une suite. Mais, voilà, je suis le seul à m'être rebellé. Au moins, je serais la honte de la famille, et peut-être que j'inspirerai les générations futures. J'ai toujours été un semeur de merde.
Sur ce, j'ai un train à prendre. Tu dois probablement être satisfait de ne plus voir ma tête tous les jours. J'espère que ta vie sans moi sera bien meilleure. Faut dire, j'ai été un lourd fardeau, pour toi et notre histoire. Je ne t'ai pas rendu fier, et ça... J'en suis terriblement ravi. J'espère vraiment que tu vas crever d'une balle dans le coeur. C'est la meilleure mort que je puisse te souhaiter.
Adieu.

PS : Ne t'en fais pas pour moi... Je vivrais carrément mieux sans voir ta gueule de rat. Enfin, de toute façon, tu n'en as rien à cadrer, donc forcément...


Il est inutile de raconter l'histoire depuis le début. A vrai dire, il n'y a rien de passionnant. Reid est loin de posséder une famille aimante, bien que celle-ci soit aisée. Depuis l'enfance, il savait qu'il ne se soumettrait pas aux voeux de ses parents, ce qui fût d'ailleurs la cause d'une adolescence catastrophique. Son frère, Jarett, essaya de nombreuses fois de le convaincre d'entrer à l'école militaire, comme lui. Reid savait que sa vie aurait été meilleure s'il s'était plié. Sauf qu'il n'en avait pas envie. Ce soir-là, après avoir déposé la lettre sur le bureau de son père, il se dépêcha de retourner chercher sa valise. A l'époque, il n'avait que dix-neuf ans, et il avait un ami à Denver qui lui avait proposé de l'héberger. C'est de cette façon qu'il se retrouva dans le Colorado. Rapidement, il intégra un groupe de motard et il fût classé dans le groupe des délinquants, bien que n'ayant aucun casier judiciaire. C'est d'ailleurs grâce à cela qu'il put intégrer la police après l'annonce du Commandant John Powell. Quant à la raison pour laquelle il décida d'y entrer, eh bien...




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